« J’espère que d’ici quelques années, nos jeunes auront en face d’eux, des structures de recherche suffisamment structurées, suffisamment équipées pour qu’ils n’hésitent plus à rentrer chez eux. De toute façon, nos écoles doctorales sont structurées, nous avons des collèges doctoraux qui sont régionaux donc nous mettons en place des choses qui vont attirer nos jeunes. Tous ne rentreront pas, il faut en être sûr. Mais ceux qui pourront rentrer rentreront. Et surtout, ceux qui resteront continueront en partenariat à travailler avec leur pays. »
Propos recueillis par Jean-Bruno Tagne