Les réalités locales guident l'utilisation des résultats scientifiques.
« La technologie n'appartient à personne. C'est la mondialisation, n'empêche qu'il y a toujours ces séquelles de la colonisation. C'est pourquoi nous avons dit que nous œuvrons pour que la science soit utile pour le développement du pays. C’est-à-dire la technologie utilisée pour les besoins du développement du pays.
S'il y a la nanotechnologie par exemple, on en a parlé tout à l'heure, on utilisera à Madagascar les puces provenant des recherches nanotechnologiques pour lutter contre le banditisme, les voleurs de zébu par exemple, parce qu'on va mettre des puces. C'est la réalité malgache, parce que c'est le problème par exemple. Ce n'est qu'un exemple.
Donc cette vision, elle est axée. Que ce soit les infrastructures, que ce soit les technologies, c'est pour être utilisé pour le développement pour les besoins, pour répondre aux besoins du développement du pays, de la population. »